Agenda

Trajectoires propose un accrochage exceptionnel des collections historiques de multiples et livres d’artistes produits entre 1960 et 1990, conservées à la Bibliothèque des Musées et au Musée d’Art moderne et contemporain. II propose un regard inédit sur ces collections, en les plaçant à l’intersection entre une histoire de l’art informée des développements de l’histoire globale, une fabrique des sociabilités artistiques et une économie des formes. Conçu en collectif, ce projet associe les Musées de Strasbourg aux étudiant·es et enseignant·es du master Graphic [ · · · ] Languages de la HEAR.

Les livres et éditions d’artistes se situent à la jonction de plusieurs pratiques qui ont pu se croiser à la faveur du développement des réseaux artistiques depuis les années 1960. Leurs formes et leurs intentions répondent à une ambition de diffusion qui emprunte à l’édition certaines de ses stratégies (procédés de fabrication notamment), tout en contournant les structures et les circuits de diffusion préexistants. Ces dynamiques d’interaction nouvelles associées à une forte tendance à l’expérimentation ont contribué à redessiner les contours d’une géographie des réseaux de l’art contemporain dépassant la supposée homogénéité de scènes nationales. Certaines personnalités ont largement contribué à cette diffusion : George Maciunas, Robert Filliou et d’autres acteurs du mouvement Fluxus. Le corpus de l’exposition comportera également quelques œuvres pionnières, produites par Ed Ruscha, Marcel Broodthaers et Dieter Roth. On y rencontrera aussi des éditions historiques d’Annette Messager, Christian Boltanski, ou Hans-Peter Feldmann.

L’accrochage s’adosse à un programme de recherche déployé dès l’automne 2023 : « Relire-relier. Art, expérimentations éditoriales et sociabilités transnationales » qui donne lieu à des conférences, rencontres et workshops. Ce programme vise à réévaluer le périmètre du livre d’artiste dans une perspective d’histoire sociale et au regard des développements contemporains dans le domaine de l'édition d'artiste. Il propose aussi de le relier à une histoire du design graphique qui apparaît comme l’une de ses composantes depuis son apparition.

Commissariat : Franck Knoery, conservateur de la Bibliothèque des Musées de Strasbourg, Anna Millers, conservatrice en charge de l’art contemporain au Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg.
En partenariat avec la Haute école des arts du Rhin. Projet porté par Jérôme Saint-Loubert Bié, Kévin Donnot et les étudiant·es du Master Graphic [ · · · ] Languages

Cette exposition s’inscrit dans la programmation « Strasbourg, Capitale mondiale du livre – Unesco 2024 ».

Une exposition pour tout savoir sur le monument de Gutenberg érigé en 1840 à Strasbourg à l’occasion des 400 ans de l’invention de l’imprimerie. Œuvre majeure de David d’Angers, l’un des plus grands statuaires français du 19e siècle, ce monument vante les bienfaits de l’imprimerie à travers le monde, dans un esprit d’humanisme et d’amitié entre les peuples. Situé au cœur de la ville, il constitue aujourd’hui un élément essentiel du patrimoine urbain de Strasbourg ainsi qu’un appel au vivre ensemble.

En rendant hommage à Gutenberg à la fin des années 1830, les autorités strasbourgeoises souhaitent rappeler le souvenir d’un bienfaiteur de l’humanité dont l’invention a contribué à l’émancipation des hommes et des femmes. Fervent républicain, le sculpteur David d’Angers (1788-1856) répond à la commande en proposant un monument très politique, défendant des valeurs humanistes : l’instruction des peuples, la liberté d’expression, la dénonciation de l’esclavage. L’exposition revient sur le processus créatif du monument, dans un contexte de concurrence mémorielle avec la cité allemande de Mayence.

En juin 1840, l’inauguration du Gutenberg de David d’Angers donne lieu à trois journées de fêtes populaires auxquelles prennent part des imprimeurs venus de toute la France, mais aussi les différents corps de métiers de la ville. L’ouvrier est au centre des attentions. Un immense cortège les voit parcourir la ville sur des chars. L’exposition est l’occasion d’exposer les riches collections du musée historique de la Ville de Strasbourg (estampes, bannières, maquettes d’époque…), pour certaines restaurées pour l’occasion, témoignant de ce cortège foisonnant.

Depuis le 19e siècle, la place Gutenberg a été le théâtre d’événements et de moments importants pour l’histoire de Strasbourg. Elle appartient aujourd’hui au quotidien des Strasbourgeois, qui entretiennent avec elle une relation que l’exposition interroge par le biais d’une enquête d’anthropologie sociale menée en lien avec l’Université de Strasbourg. En partant du monument, dont elle révèle la genèse, l’exposition entend ainsi contribuer à « Lire Notre Monde ».

Commissariat : Odile Lassère, conservatrice en chef du Musée Historique de la Ville de Strasbourg
Équipe : Sylviane Hatterer, Nicolas Heissat, Isabelle Bulle
Recherche d’anthropologie sociale : Marie Durand, Institut d’ethnologie, Université de Strasbourg / Laboratoire interdisciplinaire en études culturelles (LinCS)

 Cette exposition s’inscrit dans la programmation « Strasbourg, Capitale mondiale du livre – Unesco 2024 »

27 juin 2024 – 24 février 2025
Ouvert en semaine de 10h à 13h et de 14h à 18h
Samedis et dimanches de 10h à 18h
Fermé le lundi

« Il n'y a pas de littérature pour enfants, il y a de la littérature » (François Ruy-Vidal) est un principe fondateur et provocateur qui a guidé la conception de livres jeunesse à partir des années 1960/1970. L’exposition prend ce principe comme fil rouge pour examiner comment les limites entre les différents domaines littéraires sont abolies à partir du moment où les enfants sont pris au sérieux, où on les confronte à des thèmes difficiles et complexes et, surtout, où ils peuvent construire eux-mêmes le sens de l’œuvre.
Cette exposition prend son point de départ dans l’œuvre audacieux et émancipatoire de Tomi Ungerer, dont les livres ont fortement marqué son temps. Elle met aussi en lumière d’éminents illustrateur·ices contemporain·es qui s’intéressent au rôle de l’enfant sous des formes poétiques, politiques et ludiques: des livres écrits avec des enfants, des livres dans lesquels l’autorité de l’enfant et de l’adulte est renversée, des livres dans lesquels la vie intime de l’enfant peut trouver une résonance. En somme, des œuvres d’art qui bousculent les hiérarchies de notre monde, et qui en ouvrent le sens et la portée.

Commissariat :
Artistes illustrateur·ices internationaux et strasbourgeois·es exposé·es :

Beatrice Alemagna, Pauline Barzilaï, Blexbolex, Serge Bloch, Lisa Blumen, Guillaume Chauchat, Mathilde Chèvre, Kitty Crowther, Dominique Goblet, Marie Mirgaine, Saehan Parc, Matthias Picard, Mathieu Sapin, Leo Timmers, Tomi Ungerer

Commissariat : Anna Sailer, conservatrice du Musée Tomi Ungerer – Centre international de l’Illustration. Comité scientifique : Britta Benert, Loïc Boyer. Installations : Cécile Tonizzo.

Musée Tomi Ungerer - Centre international de l'Illustration

Ouvert tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h
Samedis et dimanches de 10h à 18h
Fermé le lundi

Une œuvre d’art peut-elle être réalisée à partir d’un mode d’emploi ? Cette exposition s’intéresse aux « oeuvres à
protocole ». Ces oeuvres basées sur des instructions écrites, orales ou dessinées parcourent la création contemporaine des années 1960 à nos jours. L’exposition propose, pour la première fois en France, une plongée dans ce chapitre de l’art contemporain. À la manière de recettes de cuisine ou de partitions de musique, les oeuvres
à protocole sont conçues par un ou une artiste mais réalisées par un tiers, qu’il s’agisse des équipes du musée
ou d’un groupe d’élèves. Ainsi les oeuvres à protocole bouleversent la conception traditionnelle de l’œuvre
d’art en remettant en cause les notions d’auteur, d’originalité ou encore de pérennité. Elles perturbent également
les règles habituelles du musée : certaines peuvent être touchées ou emportées, d’autres poussent ou disparaissent
au fil de l’exposition. Dans certains cas, c’est à vous, visiteurs et visiteuses, de les activer.
Des oeuvres d’Alice Aycock, Daniel Buren, Martin Creed, Esther Ferrer, Louise Lawler, Sol LeWitt, Vera Molnár, Yoko Ono, Erwin Wurm et Ian Wilson entre autres, se déploient dans l’espace de l’exposition.
Commissariat : Philippe Bettinelli, conservateur au service Nouveaux médias du Musée national d’art
moderne - Centre Pompidou, Anna Millers, conservatrice en charge de l’art contemporain au MAMCS.
En partenariat avec le 49 Nord 6 Est - Frac Lorraine, festival Musica et le CEAAC.

L'artiste et curatrice Marie-Pierre Bonniol présente ses livres d'images digitaux développés depuis 2023 lors d'un temps de résidence à Strasbourg, dans une dynamique qui croise arts plastiques, photographie, littérature, patrimoine et culture du fanzine. Ces publications se concentrent sur l’ouverture d’espaces imaginaires, l'image comme langage et le mystère des affects.

L'exposition est présentée avec le CEAAC, en partenariat avec la Bnu (Strasbourg), Waterworks Museum (Boston) et Studio Walter (Berlin) dans le cadre de Strasbourg Capitale mondiale du livre.

Entrée libre du mardi au vendredi de 14h à 17h et samedi de 10h à 19h

Du mercredi 16 octobre au mercredi 5 février

Médiathèque André Malraux - Salle du Patrimoine 3e étage

 

MISE EN JEU DE FABLES
Par la Compagnie L’Apostrophe
Mise en scène Noèle de Murcia Les Fables de La Fontaine sont enracinées dans toutes les mémoires et ont imprimé dans les esprits des expressions, des récits, des dialogues et des personnages qui font partie d’un fonds culturel commun à toutes les générations. La compagnie L’Apostrophe a le projet de jouer ces textes et de faire vivre ces animaux très humains sur une scène où s’explore la diversité des rapports de domination à l’œuvre dans la société. A partir d’une sélection de quinze fables, connues ou à découvrir, elle propose un spectacle inventif et ludique qui s’adresse à tous les publics et à tous les âges à partir de 9 ans. Renseignements et réservations ou par courriel
cie.apostrophe@hotmail.fr
Règlement en espèces, par chèque ou par CB

Au moment où Strasbourg est Capitale Mondiale du Livre, l’exposition présentée par le 5e Lieu propose de porter un regard neuf et intime sur l’architecture des bibliothèques strasbourgeoises. Depuis la mythique bibliothèque d’Alexandrie, les bibliothèques se sont faites monumentales pour s’inscrire dans la ville, l’idéal de conservation et de diffusion de la connaissance s’incarnant dans la pierre. Temples du Savoir, les bibliothèques se transforment désormais en lieux de vie au gré des évolutions des publics et de leurs usages, des nouvelles constructions et des rénovations. Témoins de leur temps, les bibliothèques révèlent à travers leurs architectures les enjeux sociétaux et culturels contemporains.

Du vendredi 4 octobre 2024 au dimanche 23 février 2025.
Du mardi au samedi de 11h à 18h, le dimanche de 11h à 17h.

Cette exposition présente pour la première fois la place singulière de l’Alsace et particulièrement Strasbourg dans l’élaboration d’ouvrages illustrés destinés à la jeunesse à partir du XIXe siècle. Dès cette époque, des illustrateurs et illustratrices, éditeurs et imprimeurs originaires de la région ou entretenant un lien fort avec elle, ont participé à une grande aventure éditoriale pour faire vivre un nouveau marché destiné à édifier le jeune lectorat tout en le distrayant. La région, entre France et Allemagne, a pu s’appuyer sur le dynamisme et le talent visionnaire d’artistes comme Gustave Doré, Théophile Schuler ou l’éditeur Pierre-Jules Hetzel qui ont uni leurs efforts pour mettre en image des histoires pour de jeunes lecteurs.

Des images pour instruire
Des éditeurs alsaciens publient dès le début du 19e siècle des ouvrages moralisateurs destinés au jeune lectorat. Adaptant en français les publications à succès du pédagogue allemand Christoph von Schmidt, ils sont rapidement complétés par des ouvrages d’instruction publique, accompagnant la scolarité obligatoire.

Des images pour distraire
La démocratisation de l’image au 19e siècle permet à la jeunesse d’accéder à de nouveaux loisirs édités, publiés par des imagiers inventifs comme l’imagerie de Wissembourg. La publicité et ses produits dérivés attisent le désir de consommer de la jeunesse en lui offrant des images à voir et à collectionner.

L’émergence de l’album
À partir des années 1820, les albums édités pour la jeunesse donnent progressivement la primauté à l’image par rapport au texte, ouvrant la voie à un âge d’or des albums jeunesse. Autour des éditeurs Hetzel, Hachette, Garnier frères ou encore Furne, un corpus d’auteurs et, surtout, une génération brillante d’illustrateurs se constituent : Gustave Doré, Gustave Jundt, Frédéric Lix, Charles Émile Matthis, Théophile Schuler.

Des images valorisant le patrimoine des contes et légendes
L’intérêt renouvelé pour les contes et légendes se traduit par de nombreuses mises en image de sujets alsaciens voisinant avec les grands classiques comme les contes de Perrault illustrés chez Hetzel par Gustave Doré ou Frédéric Théodore Lix chez Garnier. En parallèle, des sujets régionaux sont édités, mettant en scène des localités ou des personnages typiquement alsaciens.

Des images instrumentalisées durant les grands conflits.
Lors des nombreux conflits de la fin du 19e et du 20e siècle, l’image destinée à la jeunesse est utilisée à des fins de propagande pour nourrir le sentiment patriotique et décrédibiliser l’ennemi.

Commissariat : Florian Siffer, Responsable du Cabinet des Estampes et des Dessins, Christine Esch, Responsable de la Bibliothèque alsatique du Crédit Mutuel

Cette exposition s’inscrit dans la programmation « Strasbourg, Capitale mondiale du livre – Unesco 2024 ».
Un accrochage complémentaire aura lieu au Musée Tomi Ungerer, Centre international de l’illustration, du 21 novembre au 23 février 2025

Galerie Heitz, palais Rohan

8 novembre 2024 – 17 février 2025
Ouvert tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h
Samedis et dimanches de 10h à 18h
Fermé le mardi

L’exposition réunit un ensemble de tirages d’époque, négatifs, photos d’identité, portraits de famille, issus de trois collections du Vernacular Social Club. On y trouve les souvenirs d’un temps passé, témoins de faits de société et de moments historiques, aux formes esthétiques diverses qui dessinent et documentent un grand récit familial collectif.

A La Chambre, espace d'exposition et de formation à l'image.
Entrée Libre du mercredi au dimanche, de 14h à 19h.
Visite guidée gratuite tous les dimanches à 17h (20 minutes).

Exposition sonore

Pendant trois années, Est Ouest Théâtre est allé à la rencontre des habitants des quartiers ouest de Bischheim et Schiltigheim, en proposant des ateliers de prise de parole. Ceux-ci ont permis à chacun de dire publiquement qui il est, de faire entendre ses envies, ses colères, d’exprimer ses rêves.

À vous désormais de décrocher le téléphone et d’écouter la mémoire de ces témoignages.

CREDITS

Ateliers : Marie-Anne Jamaux et Dominique Jacquot / Son : Catherine Leromain avec l’aide de Xavier Jacquot

Construction : Olivier Benoit

La résidence est soutenue par la Ville de Schiltigheim, la Ville de Bischheim, l’Eurométropole de Strasbourg, le Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Grand Est, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, la Collectivité européenne d’Alsace, la Région Grand Est.

Partenaires de terrain : Centre social et familial Victor Hugo, Mission Locale, collèges Leclerc et Rouget de Lisle, Communauté européenne d’Alsace, Association des Parents d’Élèves des Écrivains.

Entrée libre aux horaires de la médiathèque

Du 14 janvier au 1er février

Médiathèque Frida Kahlo

La médiathèque met en lumière et sous vitrines ses plus beaux ouvrages patrimoniaux autour de l’Alsace et de la commune d’Illkirch-Graffenstaden.

Du mardi 21 janvier au samedi 1er février

Médiathèque Simone Veil

Accrochage

La gueule dans le QR c’est une expo made in Olympe de Gouges que la France entière nous envie.

Prenez une pochette de vinyle mythique, collez sur le visage de son principal protagoniste un QR code, utilisez votre smartphone pour vous laisser surprendre et guider à travers des coups de cœurs, des podcasts ou encore des playlists concoctées par vos bibliothécaires. Chaque année les pochettes changent et les contenus aussi.

Entrée libre aux horaires de la médiathèque

Du jeudi 2 janvier au mercredi 30 avril

Médiathèque Olympe de Gouges

Jeux de société avec Contact et promotion. Tout public. Entrée libre

Mardi 14 janvier de 16h30 à 18h

Mardi 21 janvier de 16h30 à 18h

Mardi 28 janvier de 16h30 à 18h

Mardi 4 février de 16h30 à 18h

Mardi 11 février de 16h30 à 18h

Mardi 18 février de 16h30 à 18h

Mardi 25 février de 16h30 à 18h

Médiathèque Hautepierre

La culture manouche au Neuhof

Exposition 

À travers une exposition de 32 photos liées au tournage des films Latcho Drom en 1993 et Swing en 2002, il est proposé de faire découvrir le patrimoine et la culture Manouche.

Samedi 25 janvier dans le patio de l’Espace culturel Django Reinhardt

Du mardi 17 décembre au vendredi 24 janvier

Médiathèque Neuhof

Accrochage

Découvrez l’immensité et la beauté du ciel à travers cet accrochage unique, mélange de gravures, photographies, œuvres originales ; un voyage captivant parmi les nuages, les oiseaux et les étoiles sans avoir à quitter la terre ferme.

Cet accrochage visible dans toute la médiathèque réunit des œuvres de l’Artothèque de Neudorf, ainsi que du Pôle Patrimoine & Illustration de la Médiathèque André Malraux.

Entrée libre

Du vendredi 10 janvier au samedi 5 avril

Médiathèque Gisèle Halimi

Compagnie Le Son du Bruit

Spectacle musical / Danse

À partir de : 4 ans

Durée : 40 min

Tierra Urbana est un spectacle mené par le duo d’artistes Gonzalo Campo et Miguel Ortega. Des traditions ancestrales d’Amérique du Sud dont ils sont natifs, jusqu’aux cultures urbaines, le duo développe un langage poétique et universel.

La découverte du monde par le son et le mouvement révèle la magie et la poésie du quotidien. Tierra Urbana c’est l’occasion de faire découvrir aux enfants un large répertoire de styles de danses et de musiques (traditionnelles, classique, hip hop, et contemporain). Ce spectacle crée des situations poétiques et décalées afin d’explorer la relation entre musique et mouvement, réel et imaginaire. A propos de la danse la « street culture », le mime, le classique et le contemporain auront chacune leur place et quand à la musique créée en live elle se fera sur des instruments originaux et uniques comme le « Silexophone », des mobiles sonores, du beat box, des percussions corporelles, et un travail autour des voix d’enfants collectées en amont questionnant le monde.

Conte

Ça fait rire ça fait pleurer, ça s’en va et ça revient, on en rêve tous et on le maudit parfois, c’est l’amour. Quoi de mieux qu’une heure du conte pour s’émouvoir et sourire de nos histoires de cœur ?

Dès 6 ans. Durée : 45 min. Sur inscription

Mercredi 22 janvier à 15h

Médiathèque Elsau

Party Game

Dès 7 ans. Entrée libre

Mercredi 15 janvier de 14h à 17h

Mercredi 22 janvier de 14h à 17h

Mercredi 29 janvier de 14h à 17h

Mercredi 5 février de 14h à 17h

Mercredi 12 février de 14h à 17h

Mercredi 19 février de 14h à 17h

Mercredi 26 février de 14h à 17h

Médiathèque Simone Veil

Spectacle musical

À partir de : 1 an

Durée : 40 min

Spectacle musical participatif, percussif, chanté, beat boxé dans la langue des sons. Le personnage « iTo » est un être singulier qui nous invite dans son jardin musical. Ce qu’il aime, c’est donner à entendre et nourrir l’imaginaire. Cet « instrhumain » joue de tout son corps comme d’un instrument. iTo nous plonge dans un voyage sonore côtoyant les rives de l’Asie, de l’Afrique, de l’Amérique du Sud, de l’Europe. On y entendra les gongs javanais, chinois ou tibétain, la Sanza, le charango, des chants polyglottes, des animaux complices dotés de sonorités surprenantes …

L’humour, la poésie, le corps en mouvement, les rythmes, le langage imaginaire et la voix sont au rendez-vous. « iTo » donne à entendre et à voir l’invisible, il partage un instant unique et éphémère qui fera briller les yeux et les oreilles des petits et des grands. « iTo » est un voyage dans le monde des sons, une exploration sensible des possibilités musicales de ce qui entoure ce personnage. En espagnol, iTo est un vocable ajouté en fin de mot ou de prénoms pour signifier affectivement ce qui est « petit ». Le personnage iTo veut souligner l’importance, et donner la place de ce qui est petit car les petites choses peuvent changer le monde. En japonais iTo signifie « le fil », pourquoi pas celui qui lie tous les êtres entre eux malgré leurs différences…

Le jeu de rôle, quel drôle de jeu. Soyez curieux, laissez-vous guider en toute confiance par des maîtres du jeu de l’association Pandrylia, spécialisée dans le jeu de rôle familial.

Tout public dès 8 ans. Sur inscription

Mercredi 22 janvier

De 13h45 à 15h15 pour les 8 à 12 ans

De 15h15 à 16h45 pour les + de 12 ans

Médiathèque Simone Veil