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Agenda
Fil d'Ariane
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Prochaines dates
- Le 22 janvier 2025 : 16h-17h30
Événement gratuit sur inscription | Kostenlose Veranstaltung mit Anmeldung
À l’occasion de la Semaine du Son 2025 (du 20 janvier au 02 février) et de la Journée Franco-Allemande, découvrez une expérience unique mêlant art, littérature et exploration sonore !
« Dompter les rivières », c’est bien plus qu’une simple visite : c'est une balade immersive où le son se mêle au réel. Une fiction sonore géolocalisée plurielle et polyphonique qui explore les multiples facettes du quartier du Wacken, un quartier patchwork en perpétuelle mutation.
Découvrir le teaser vidéo : https://youtu.be/b302-Vow76s?feature=shared
Qu’est-ce qu’une fiction sonore géolocalisée ?
C’est une expérience interactive où des histoires, composées de textes originaux (écrits par des auteur.ice.s et dits par des comédien.ne.s) et de musique créée par des compositeur.ices, se déclenchent automatiquement en fonction de votre position. Vous écoutez tout en déambulant, vivant une immersion totale entre fiction et réalité.Toutes nos fictions sonores sont disponibles à l'écoute gratuitement 24h/24 et 7j/7 en téléchargeant l'application GOH (Android et iOS) !
Pour cette visite découverte, le matériel d’écoute est fourni (casque et dispositif audio).
Équipe artistique :
Textes : Lucie Taïeb
Musique : Eve Risser et Antoine SpindlerRéalisée dans le cadre du Festival Musica 2023, en partenariat avec le Maillon – Scène Européenne.
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Prochaines dates
- Le 24 janvier 2025 : 19h-20h
- Le 25 janvier 2025 : 20h30-21h30
Comment communiquer par-delà les murs et les systèmes ? En dépit de la censure et de l’enfermement, Chun Shing Au et son ami Siu Ming ont échangé des lettres. L’un vit libre en Europe, l’autre a été emprisonné pour avoir pris part à la contestation en faveur de la démocratie à Hong Kong. Partageant leur quotidien, leurs rêves, les contraintes qu’ils rencontrent, utilisant l’adresse qui donne son titre au spectacle, ils apprennent à lire entre les lignes dans une langue qu’ils ont inventée pour échapper à la censure et qui s’est faite peu à peu poétique. À partir de ce matériau précieux où la proximité amicale et le souci de l’autre s’opposent à l’éloignement géographique et politique, Chun Shing Au a composé une performance intime qui invite à l’attention, un théâtre d’objet fascinant dans lequel le papier devient son partenaire de jeu. Il propose une réflexion visuelle sur la privation, la contrainte et l’isolement autant que sur la force et les limites de notre propre esprit pour les dépasser.
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Prochaines dates
- Le 24 janvier 2025 : 20h30-21h30
- Le 25 janvier 2025 : 19h-20h
« Pensez-vous que l’on puisse échapper à son enfance ? Je ne le crois pas ». Ces mots sont ceux de Leonora Carrington, autrice et artiste plasticienne qui partagea la vie de Max Ernst avant la guerre et fréquenta ensuite Octavio Paz et Frida Kahlo au Mexique. Dans cette pièce aux accents surréalistes dont se saisit la metteuse en scène Giulia Giammona, Penelope est brutalement précipitée dans le monde des adultes au jour de ses 18 ans, laissant derrière elle un univers de conte de fées à l’abri des hommes, où c’est à son cheval à bascule qu’elle confiait ses pensées. En ponctuant sa mise en scène d’extraits d’enregistrements de Leonora Carrington et d’images d’archives, Giulia Giammona fait entrer en résonance la vie et l’œuvre, sans pour autant chercher à expliquer l’une par l’autre. Convoquant le jeu, la danse, des costumes aux tons oniriques et les notes d’une harpe, la mise en scène conserve tout le mystère d’un texte dont l’autrice disait ne pas avoir le temps d’être la muse d’un autre, trop occupée à se rebeller contre sa famille et à apprendre à être une artiste.
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Prochaines dates
- Le 31 janvier 2025 : 19h-20h
- Le 01 février 2025 : 19h-20h
Une profonde césure traverse le parcours de Mina Kavani, lorsqu’à 19 ans elle quitte l’Iran des mollahs pour la France des libertés. Un exil entre-temps devenu définitif, depuis qu’oser jouer une scène d’amour à l’écran lui a interdit tout retour.
Partie pour faire ses études au Conservatoire, elle a laissé derrière elle le milieu intellectuel dans lequel elle a grandi et une vie de fêtes, de transgressions et de rêves d’émancipation, dans un espace underground encore préservé des interdits. Mais arrivée à Paris, celle que l’on ramène sans cesse à ses origines fait l’expérience du déchirement entre le lien lancinant au passé et la promesse non tenue de l’avenir.
À la fois récit et monologue intérieur, I’m deranged est la tentative de donner forme à ce déchirement. Dans une scénographie où les miroirs renvoient à la comédienne l’image de sa condition, sa voix à la fois puissante et retenue s’élève dans la pénombre, zone indécise de celle qui est dé-rangée, mais en lutte pour trouver sa place. -
Prochaines dates
- Le 31 janvier 2025 : 20h30-22h
- Le 01 février 2025 : 20h30-22h
En finir avec le sexisme ordinaire, les « t’es super mignonne » dans la rue, les « ma belle » du patron, les frôlements appuyés dans la rame de métro, trop souvent passés sous silence ou laissés sans réponse. Avec les donneurs de leçons et de coups, avec la violence verbale et physique. Avec le sentiment d’impunité, aussi. Dans ce spectacle sans concessions, Émilienne Flagothier et ses comédiennes vont rejouer toutes les scènes d’agressions quotidiennes que subissent les femmes, pour mieux en modifier le dénouement. De victimes, elles deviennent combattantes, inversent les rapports de force, opposent le défoulement au refoulement. Elles desserrent les dents, serrent le poing et frappent, dans un empowerment aussi déjanté qu’essentiel. Sur la scène du combat, plus d’arbitre cette fois-ci pour calmer le jeu et rappeler les règles. RAGE n’est pas un discours sur la méthode, mais un geste libératoire, à coups de répliques incisives, de mimes grotesques, de bruitages, de postiches et de barres de fer. Un in-yer-face comique et destructeur, politique et cathartique.
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Prochaines dates
- Le 05 février 2025 : 20h30-22h
- Le 06 février 2025 : 20h30-22h
- Le 07 février 2025 : 20h30-22h
Depuis l’Antiquité, l’histoire des hommes est aussi celle du silence imposé aux femmes, dont la voix a toujours été associée à la monstruosité et au désordre. Tel est le constat d’Anne Carson, dont l’essai The Gender of Sound (1992) est le point de départ de la nouvelle création de Jan Martens. À contre-courant de cette vision patriarcale, il puise dans un corpus de 200 pièces musicales des cent dernières années pour faire entendre ce qui est tu : des morceaux méconnus, où la voix de la femme est essentielle. Dans un présent écrasé d’images, il fait confiance à la puissance évocatrice du son et lui donne forme à travers les corps. Laissant cette fois de côté les chorégraphies de grands groupes, il se concentre sur un ensemble de six danseur·euses accompagné·es de treize musicien·nes, dans une approche sensible et sensorielle. Sans abandonner complètement l’organisation quasi géométrique des corps dans l’espace qui constitue sa marque de fabrique, le chorégraphe invite les artistes à s’émanciper peu à peu des cadres. Pour mieux écrire une contre-histoire sonore et gestuelle.
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Prochaines dates
- Le 26 février 2025 : 20h30-21h40
- Le 27 février 2025 : 20h30-21h40
- Le 28 février 2025 : 20h30-21h40
Il y 30 ans, Dorothée Munyaneza a quitté le Rwanda pour un exil à Londres, Paris, et aujourd’hui Marseille. Depuis cet ailleurs où elle inscrit son existence et son activité artistique, elle revient régulièrement sur la terre de ses origines auprès d’umuko, arbre ancestral et rayonnant aux feuilles rouges, source de vie et de créativité, lieu symbolique d’ancrage dans les racines et de projection vers ce qui doit sans cesse advenir. Après Mailles, présenté en 2021, cette relation entre le passé et le futur – l’ejo en kinyarwanda – est au cœur de son nouveau projet, dans lequel elle collabore avec une jeune génération d’artistes qui réinvente la création au Rwanda. Sur une toile de fond vibrante et colorée, elle déploie le langage des corps et fait entendre les notes de l’inanga, instrument à cordes traditionnel. À la fois transmission d’une culture toujours vive et exploration de nouveaux territoires artistiques, umuko tisse les liens entre passé et présent et célèbre la joie de l’invention commune.
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Prochaines dates
- Le 12 mars 2025 : 20h30-22h30
- Le 13 mars 2025 : 19h30-21h30
- Le 14 mars 2025 : 19h30-21h30
Automne 1972 : au tribunal de Bobigny comparaissent devant les juges Marie-Claire Chevalier, jeune fille de 16 ans, ayant choisi d’avorter après avoir été violée, et sa mère. Elles sont défendues par la célèbre avocate Gisèle Halimi, dans un procès devenu historique. Quelque 50 ans plus tard, Émilie Rousset et Maya Boquet se saisissent de cet évènement : pas de procès rejoué ici, pas de reenactment spectaculaire, mais un dispositif inédit fondé sur l’expérience intime de l’écoute. Sur douze postes répartis dans l’espace, entre lesquels spectateur·rices se déplacent sur le grand plateau, les comédien·nes prêtent leur voix aux témoins d’hier et d’aujourd’hui. Une démarche originale, fondée sur la liberté de chacun·e, invité·e à découvrir ce moment qui mit la question des droits des femmes au cœur du débat public. Une restitution actualisée, qui fait écho aux enjeux du présent sur l’avortement, entre reconnaissance constitutionnelle et remise en cause.
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Prochaines dates
- Le 13 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 14 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 15 mars 2025 : 20h30-22h
Co-fondatrice du Living dance Studio – première compagnie artistique indépendante chinoise, avec le réalisateur de documentaires Wu Wenguang –, à Pékin en 1995, Wen Hui danse, filme et archive le réel. Après I am 60, qui faisait revivre la créativité saisissante du cinéma féminin des années 1930 en mêlant ses combats à ceux d’aujourd’hui, elle reprend le flambeau du droit des femmes à disposer de leur propre corps. En 1999, la chorégraphe s’intéressait aux expériences d’accouchement de ses compatriotes (Report on Giving Birth). Un quart de siècle plus tard, elle poursuit sa critique de l’interventionnisme de l’empire du milieu qui, après avoir imposé la doctrine de l’enfant unique durant deux décennies, enjoint par la discrimination une natalité forte face au vieillissement de sa population. Interviews, documents sonores et vidéos servent de socle à une pièce montrant comment l’intime est politique. Quatre danseuses d’origines et de générations variées composent en direct une mosaïque de résistance au féminin.
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Prochaines dates
- Le 20 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 21 mars 2025 : 20h30-22h
Quel lien y-a-t-il entre la persécution des sorcières à travers l’histoire et l’utilisation de la main d’œuvre féminine ? C’est ce qu’explorent dans Magic Maids les chorégraphes Eisa Jocson et Venuri Perera. Originaires des Philippines et du Sri Lanka, deux pays où fleurit aujourd’hui l’économie du travail domestique, elles ont lors d’une résidence à Bâle découvert les conséquences des procès de sorcières sur l’exploitation du travail féminin aujourd’hui, mais aussi la permanence de la sorcellerie comme moyen d’assujettissement des ouvrières migrant·es dans les pays du Sud.
Au plateau, elles s’adjoignent les services d’un objet particulier : le balai. À la fois attribut magique et outil de travail, il devient ici symbole d’oppression tout autant que de révolte, avec lequel interagissent les corps. Empruntant aussi bien au rituel qu’à la chorégraphie ou au dialogue des voix, faisant se côtoyer le sens de l’humour et celui du tragique, la performance fait vaciller les rapports de pouvoir, et oppose à la violence systémique la solidarité féminine et l’intimité.
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Prochaines dates
- Le 26 mars 2025 : 20h30-22h30
- Le 27 mars 2025 : 20h30-22h30
- Le 28 mars 2025 : 20h30-22h30
Lucide observateur des mécanismes intimes et politiques, Kornél Mundruczó les explore à travers des personnages d’une frappante authenticité. C’est encore le cas dans Parallax où se croisent trois générations : la grand-mère à Budapest qui refuse d’accepter une médaille de rescapée de la Shoah ; sa fille à Berlin, qui au contraire fait valoir une identité juive pour obtenir une place pour son fils dans une école ; et ce même fils, en quête d’identité en tant qu’homosexuel, entre joyeuse débauche et discrimination. Dans une scénographie riche de détails et de surprises, à l’image d’une réalité toujours susceptible de renverser les vies et les visions, ils se heurtent aux mêmes questions : comment échapper aux assignations, lorsqu’elles s’inscrivent dans les corps et les mémoires ? L’identité est-elle un poids, une libération ? Une affaire de point de vue ? C’est la question que pose le titre, puisque la parallaxe, en astronomie, désigne l’impact du changement de position de l’observateur sur la perception de l’objet.
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Prochaines dates
- Le 02 avril 2025 : 20h30-22h
- Le 03 avril 2025 : 20h30-22h
- Le 04 avril 2025 : 20h30-22h
Longtemps considéré·es comme apatrides, les Roms de Grèce, qui n’ont été naturalisé·es qu’en 1979, continuent à vivre en marge de la société. En dépit des liens étroits qui les rattachent à la culture et à l’histoire grecques, les Roms ne sont présent·es dans l’espace public que comme objets de préjugés et représentations fantasmagoriques largement partagés. Après Clean City, consacré à la situation des femmes de ménage, les metteurs en scène Anestis Azas et Prodromos Tsinikoris poursuivent leur enquête sur les angles morts du monde contemporain en se penchant sur la condition d’une communauté méconnue. Après des recherches menées à travers toute la Grèce, ils inversent la perspective et invitent celles et ceux dont on parle à parler. Investissant le plateau, les Roms reconquièrent une voix politique en témoignant de leur stigmatisation, non sans prendre un malin plaisir à décliner toutes sortes d’attributions et d’assignations qu’ils et elles partagent avec les gens du voyage à travers l’Europe entière.
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Prochaines dates
- Le 24 avril 2025 : 20h30-21h30
- Le 25 avril 2025 : 19h-20h
- Le 26 avril 2025 : 18h-19h
Pour Exit, le chorégraphe flamand Piet Van Dycke a invité quatre spécialistes de disciplines différentes à inventer ensemble un langage commun. Pas d’agrès ni d’accessoires pour cela, mais cinq portes et un mur pivotant. Dans cet espace qui leur réserve des surprises, les artistes entrent et sortent, apparaissent et disparaissent, sautent et tombent, se retiennent et se propulsent, se soutiennent et s’entraident. Tous les quatre se hissent dans les airs, glissent du mur et cherchent un état d’équilibre commun qu’ils finissent par trouver. En jouant de l’intérieur et de l’extérieur, explorer l’environnement et ses obstacles devient une façon d’explorer la relation entre l’individu et le groupe. Selon Piet Van Dycke, le cirque ne consiste pas à réaliser, mais à défier l’impossible : en quête perpétuelle d’interaction, frôlant régulièrement la chute, les circassiens découvrent peu à peu la nécessité de la confiance en l’autre. Une manière de donner une forme physique au vivre-ensemble, dans un spectacle brillant sur l’importance du collectif.
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Prochaines dates
- Le 17 mai 2025 : 16h-17h30
Depuis la rentrée de septembre, des projets de médiation sont portés par l’équipe des relations avec le public du Maillon auprès de jeunes en temps scolaire et hors temps scolaire et ce en lien étroit avec la programmation du Maillon.
Option théâtre au lycée, ateliers dans les centres sociaux, master classes… : tous ces projets sont menés, chaque saison, avec des artistes et associent de nombreux partenaires. Le temps d’une demi-journée, nous vous invitons à découvrir les restitutions de ces ateliers. -
Prochaines dates
- Le 21 mai 2025 : 20h30-21h40
- Le 22 mai 2025 : 20h30-21h40
- Le 23 mai 2025 : 20h30-21h40
Originaire de la province de Jujuy, à l’extrême nord de l’Argentine, Tiziano Cruz invite à l’accompagner sur les lieux de sa culture, auprès de « ses frères à lui » (Wayqeycuna en langue quechua). Un voyage qui commence avec le tintement d’une cloche, fait de récits et d’images de montagne, mais aussi de rituels repris sur la scène. Des gestes simples et précis, comme un contre-modèle à la violence du monde, qui prendrait sa source dans le passé : dérouler un tissu, disposer sur une table des corbeilles de fruits et des petits pains que l’on cuisait autrefois en l’honneur des morts. Dans cette célébration intime où s’exprime aussi le deuil de la sœur disparue, l’artiste puise dans la tradition une force tranquille à opposer à la réalité de l’exploitation capitaliste, de l’autoritarisme politique et du colonialisme culturel. Aux rapports de force du monde, il substitue le temps d’une performance la douceur et la réconciliation, et donne à voir et à entendre, comme offert, un sentiment de communauté. Une manière de repenser le partage du sensible.
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Prochaines dates
- Le 04 juin 2025 : 20h30-21h30
- Le 05 juin 2025 : 20h30-21h30
- Le 06 juin 2025 : 19h-20h
- Le 07 juin 2025 : 18h-19h
Le spectacle commence sans fanfare ni trompettes. Un homme, nonchalamment, entre sur une scène qu’habitent quelques objets anodins, un escabeau, un portant à vêtements, des tréteaux... rien de bien original au théâtre finalement. Mais bientôt la porte se referme derrière lui : le voici désormais enfermé, comme placé contre son gré sous le regard du public. Inlassablement, il se débat dans un monde insaisissable et rétif où se multiplient les (petites) catastrophes, où les lois les plus simples de la physique n’ont plus cours, où s’estompe la frontière entre réalité et illusion. Dans ce seul en scène qui convoque le cirque, la danse, le théâtre et la magie nouvelle, Marc Oosterhoff renverse l’ordre des choses. Il campe avec humour un héros de tous les jours coincé dans une histoire qui n’est pas la sienne, où les choses défient son inventivité. Teintée d’une douce mélancolie, cette préparation pour un miracle est une façon ludique d’aborder notre désarroi face à la réalité, le réenchantement d’un monde qui nous échappe, mais avec lequel nous devons toujours composer.
en famille, à partir de 8 ans
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