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Agenda
Fil d'Ariane
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Prochaines dates
- Le 21 janvier 2025 : 20h30-21h30
- Le 22 janvier 2025 : 20h30-21h30
Depuis longtemps, Lara Barsacq s’intéresse à l’histoire des Ballets russes. Dans IDA don’t cry me love, c’était à la fabuleuse danseuse Ida Rubinstein qu’elle rendait hommage dans une performance croisant les arts. Sa ré-interrogation de l’histoire de l’art via un prisme féminin l’entraîne à tisser des liens entre L’Après-midi d’un faune de Mallarmé, Le Prélude de Debussy et le ballet sulfureux de Nijinsky composé à partir des deux. La Grande nymphe peint sa vision du personnage, enfermé dans l’allégorie du plaisir charnel. Le faune est, lui, relégué au second plan tandis que Cate Hortl distord Debussy avec une pop électronique mélangée aux voix auto-tunées de la chorégraphe liégeoise et de Marta Capaccioli. Ensemble, elles déconstruisent les violences d’une sexualisation féminine cadenassée par les hommes pour mieux donner chair au point de vue des danseuses sur l’érotisme.
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Prochaines dates
- Le 21 janvier 2025 : 19h-20h
- Le 22 janvier 2025 : 19h-20h
Pour sa première création, LA RONDE s’inspire d’une expérience d’écoute des Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach. Chloé Zamboni poursuit ce qui n’était qu’un laboratoire de recherche avec Marie Viennot pour former Magdaléna : un duo chorégraphique contemplatif, centré sur une exploration somatique du mouvement. Rigidité du dos et lignes de bras fuyantes se manifestent autour d’un travail d’oscillation du bassin concentrant l’attention. Au milieu d’exercices minimalistes et cliniques se déploient des états sensibles, cherchant des échos intimes chez les spectateurs, installés dans une proximité rare. Cette proposition gémellaire autour de l’iconique Aria et ses fascinantes variations appellent une divagation de l’âme dans un florilège d’émotions.
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Prochaines dates
- Le 24 janvier 2025 : 20h30-22h
Deuxième volet d’un diptyque débuté avec la création radiophonique Rouge cratère, autour de l’oralité de la langue malgache, Fampitaha, fampita, fampitàna questionne l’histoire coloniale de l’île rouge et l’asymétrie de considération des Hommes. Entourée du guitariste Joël Rabesolo et des performeurs Audrey Merilus et Stanley Ollivier, Soa Ratsifandrihana voyage vers elle-même dans une forme d’errance où les racines, passées à la décantation du temps, œuvrent telles une créolisation dont les influences mènent à une fécondité inouïe de cultures. La chorégraphe – éclatante de vitalité dans gr oo ve – joue des accentuations et proximités entre fampitaha, fampita, fampitàna, mots signifiant comparaison, transmission et rivalité, pour regarder en face ses propres contradictions et danser dans une perpétuelle métamorphose.
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Prochaines dates
- Le 28 janvier 2025 : 19h-20h
- Le 29 janvier 2025 : 19h-20h
Fascinée par la frénésie qui s’empare des journalistes au moindre match ou ligne droite dans un stade, Marine Colard fait des commentaires sportifs le fond sonore d’une chorégraphie athlétique. La jeune comédienne formée au théâtre physique a recruté pour coéquipière Esse Vanderbruggen. En s’époumonant avec exubérance, elles se lancent dans des postures olympiques, convoquant natation, haltérophilie, escrime ou encore ski alpin. Dans cette recherche autour des liens unissant enjeux chorégraphiques et textuels, les exploits gestuels vont de pair avec la surenchère passionnée des commentateurs, souvent risibles dans leur propension à s’enflammer. Le Tir Sacré tend un miroir à la compétitivité inhérente au capitalisme, celle qui nous enjoint à nous dépasser, à aller toujours plus haut, plus vite et plus fort.
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Prochaines dates
- Le 28 janvier 2025 : 20h30-21h30
- Le 29 janvier 2025 : 20h30-21h30
Avec Claudia Marsicano
Cassant les codes du beau et des silhouettes filiformes, Silvia Gribaudi poursuit son dynamitage en règle des normes. Souvent en scène avec son corps tout en rondeurs (Graces), voilà qu’elle laisse le plateau à Claudia Marsicano. Sa complice interprète une prof d’aérobic pas comme les autres. En 10 exercices, nos préjugés sont battus en brèche, sa technicité sans failles prouvant qu’elle n’a rien à envier à ses pairs aux physiques de podiums. L’humour bravache en étendard, c’est bien le rôle social dévolu aux femmes – conscientisé ou pas ! – qui est remis en question, la grossophobie galopante n’étant que la partie émergée d’un iceberg de clichés tenaces. Le tour de force de ce one woman show italien à nul autre pareil est de réussir à rallier le public à sa fièvre dansante.
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Prochaines dates
- Le 26 février 2025 : 20h30-21h30
- Le 27 février 2025 : 20h30-21h30
Figure incontournable de la danse contemporaine grecque depuis quelques années, Christos Papadopoulos fascine par la précision de ses pièces chorales, fonctionnant par couches et micro mouvements. Après l’hypnotisant Larsen C., il revient avec Opus, dans laquelle un quatuor de danseurs en costumes sombres évolue sur l’Art de la fugue de Jean-Sébastien Bach. Le chorégraphe s’est plongé dans les analyses de l’œuvre qui décortiquent la construction de cette partition. Il attribue à chaque élément un geste dansé afin de libérer les interprètes – représentant chacun un instrument – de toute charge émotionnelle ou sentimentale. Sur un combo de cordes (violon et violoncelle) et de vent (flûte et clarinette), se déploie un travail répétitif de géométrie spatiale, tout en pivots, rotations isolées et infimes variations. À sa manière, il résiste à la tentation d’interpréter la musique, préférant donner à voir et à expérimenter l’architecture même de l’écriture du compositeur. Bach réinventé.
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Prochaines dates
- Le 04 mars 2025 : 20h30-21h30
Après un Grand Écart réjouissant l’an passé, à la croisée des genres, entre théâtre et one man show, stand up, danse et performance, Kiyan Khoshoie poursuit le questionnement de sa pratique. Il replonge avec Wannabe dans sa chambre d’enfant et sa fascination pour les clips de MTV. Ce moment charnière où l’on s’invente en copiant les modèles qui nous fascinent. Formé à la Rotterdam Dance Academy aux Pays-Bas, le chorégraphe suisso-iranien explore les traces de cette époque sur fond de titres iconiques : Rock your body de Justin Timberlake, Never Ever des All Saints ou encore Who do you think you are des Spice Girls. Il renoue en solo avec les émotions qui le saisissaient en copiant ces danses, tout en nous offrant les clés intimes de sa somathèque : ce qui, précisément, l’animait et le poussa à la créativité. Chacun est ainsi renvoyé au dialogue intime avec l’enfant qu’il a été, invité à le regarder avec ses yeux et son cœur d’adulte pour s’autoriser, de nouveau, à jouer.
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Prochaines dates
- Le 05 mars 2025 : 19h-20h
Après un Grand Écart réjouissant l’an passé, à la croisée des genres, entre théâtre et one man show, stand up, danse et performance, Kiyan Khoshoie poursuit le questionnement de sa pratique. Il replonge avec Wannabe dans sa chambre d’enfant et sa fascination pour les clips de MTV. Ce moment charnière où l’on s’invente en copiant les modèles qui nous fascinent. Formé à la Rotterdam Dance Academy aux Pays-Bas, le chorégraphe suisso-iranien explore les traces de cette époque sur fond de titres iconiques : Rock your body de Justin Timberlake, Never Ever des All Saints ou encore Who do you think you are des Spice Girls. Il renoue en solo avec les émotions qui le saisissaient en copiant ces danses, tout en nous offrant les clés intimes de sa somathèque : ce qui, précisément, l’animait et le poussa à la créativité. Chacun est ainsi renvoyé au dialogue intime avec l’enfant qu’il a été, invité à le regarder avec ses yeux et son cœur d’adulte pour s’autoriser, de nouveau, à jouer.
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Prochaines dates
- Le 10 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 11 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 12 mars 2025 : 20h30-22h
Breakeuse talentueuse, Noémie Cordier signe une ode à l’univers du clubbing. Sur un sol recouvert de poudre blanche, les pas de la jeune Strasbourgeoise tracent une cartographie intime des cultures undergrounds qui la constituent. Formée aux danses Hip-Hop, elle s’est nourrie de capoeira, de house et de contemporain. Cet héritage se cristallise dans un groove témoignant de ses états d’âme, transcrits en pas iconiques (chase, plié, bounce, roll…). L’enjeu étant de conserver l’intuitif de ses gestes, de porter haut un langage corporel métissé témoignant d’une histoire des marges, s’exprimant face à l’oppression, qui s’écoule comme un sablier. Ce « patrimoine vivant et inobjectivable », porte en creux une liberté émancipatrice, une expression existentielle et identitaire. Dans un second temps, elle est rejointe par le batteur Joël Osafo-Brown et un DJ Beatmaker dans une invitation au partage de l’espace pour re-créer du commun avec les spectateurs.
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Prochaines dates
- Le 12 mars 2025 : 19h-22h
Indispensables lieux de fabrique, les CDCN permettent chaque année à des dizaines d’artistes de créer de nouveaux spectacles dans de bonnes conditions techniques et financières. À POLE-SUD, un grand espace leur est dédié et nous participons, grâce à ce dispositif financé par le Ministère de la Culture et les collectivités locales, à la production d’œuvres régionales, nationales et internationales.
Certaines de ces résidences ouvrent leurs portes au public lors de soirées 2 en 1 où vous pouvez découvrir gratuitement une étape de travail, les « Travaux publics », à 19:00 et un spectacle de notre saison à 20:30.
Dans cette nouvelle pièce, la chorégraphe strasbourgeoise Akiko Hasegawa interroge ce moment de préparation juste avant la cérémonie, un rite de passage qui fait surgir de nombreux sentiments qui se transforment au fur et à mesure du temps qui avance. Après Haré Dance (état de joie au japon) et Kanashimi (état de tristesse) voici un troisième volet consacré aux émotions liées à un changement, une nouvelle phase de vie. Créée pour 3 danseuses et 3 musiciennes, Akiko a demandé au compositeur Olivier Mellano de s’inspirer de l’énergie des Noces de Stravinski pour concevoir sa création musicale.
Résidence : LU 10 > VE 14 MARS
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Prochaines dates
- Le 19 mars 2025 : 20h30-21h30
- Le 20 mars 2025 : 20h30-21h30
Catarina Miranda ne laisse rien au hasard. Ses scénographies captivantes – réalisées par ses soins – font écho à son travail de plasticienne, mené en parallèle de celui de chorégraphe. La Portugaise, dont les visions d’états de corps altérés du solo Dream is the dreamer avait marqué la saison dernière, délaisse les motifs du rêve au profit d’une relecture personnelle d’une pièce de Théâtre nō du XVe siècle : Atsumori. Zeami Motokiyo y conte le retour du fantôme d’un enfant sur le champ de bataille qui l’a vu périr, afin de venger sa propre mort. Après l’avoir étudié à Kyoto, en 2018, Catarina Miranda l’aborde aujourd’hui par le double mouvement de la perte et du début des cycles, lié à l’attirance pour l’inconnu. Cinq interprètes conjurent le mauvais sort dans un rituel inspiré par des danses populaires revisitées. Un plateau lumineux et une sculpture suspendue esthétisent l’atmosphère autant qu’ils dilatent le temps, amplifiant un jeu d’ombres où les corps se dissolvent et se transforment pour mieux coexister.
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Prochaines dates
- Le 20 mars 2025 : 19h-22h
Indispensables lieux de fabrique, les CDCN permettent chaque année à des dizaines d’artistes de créer de nouveaux spectacles dans de bonnes conditions techniques et financières. À POLE-SUD, un grand espace leur est dédié et nous participons, grâce à ce dispositif financé par le Ministère de la Culture et les collectivités locales, à la production d’œuvres régionales, nationales et internationales.
Certaines de ces résidences ouvrent leurs portes au public lors de soirées 2 en 1 où vous pouvez découvrir gratuitement une étape de travail, les « Travaux publics », à 19:00 et un spectacle de notre saison à 20:30.
La compagnie de William Cardoso est basée au Luxembourg et se produit sur le territoire national et international. Son travail est connu pour son esprit contradictoire, imprévisible, créatif et engagé. Abordant des thématiques intimes et personnelles, ses pièces pointent du doigt une société hétéronormée et patriarcale. Affamé par le changement et habité par la rage de l’injustice, son travail se concentre beaucoup sur une idée de combat, une danse contacte prise à contre sens qui se résume par un aspect non fluide et des mouvements secs et bruts.
Résidence : LU 17 > VE 21 MARS
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Prochaines dates
- Le 25 mars 2025 : 20h30-22h
- Le 26 mars 2025 : 20h30-22h
Clément et Guillaume Papachristou sont jumeaux et danseurs. Le premier est valide, le second porteur de handicap moteur IMC (infirmité motrice cérébrale). Intégralement créé à deux, le spectacle alterne entre recherche chorégraphique et performance avec le public, dans une complicité joyeuse qui questionne l’altérité et la différence.
Vêtus à l’identique, collant noir et pull pailleté, Clément et Guillaume Papachristou se présentent sur un plateau nu. Les deux corps jumeaux entament une danse faite d’enlacements et de séparations. Ils s’étreignent, s’agrippent l’un à l’autre puis discutent ou se chamaillent. Tissant un fil qui les lie, les frères font de leur gémellité un territoire à découvrir. Chacun interroge son double et trouve dans ce miroir truqué des réponses et de nouvelles questions sur la richesse du lien qui les unit, éclairant leurs forces comme leurs faiblesses. Il y a dans le jeu de Guillaume Papachristou une urgence de l’émotion, une intensité de l’expression qui amènent une distorsion du temps et de l’espace, pour produire un théâtre instantané, un théâtre de l’altérité. Résolument performative et en contact direct avec les spectateur·rices, la pièce place les deux frères sur un pied d’égalité en tant qu’artistes et interprètes. Un moment de partage et de rencontre, sensible et drôle, pour nous mettre face à « l’étrangeté familière » qu’est toujours la présence de l’autre.
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Prochaines dates
- Le 02 avril 2025 : 20h30-21h30
- Le 03 avril 2025 : 20h30-21h30
Inspirée depuis toujours par le cinéma et ses nappes vaporeuses troublant la réalité, Marie Cambois fait de sa nouvelle création un objet chorégraphique hybride. INSIDE OUT débute par la projection d’un court métrage : dans une cuisine, une femme se confie à de mystérieuses et mutiques personnages, tout en préparant le repas. Cette femme quitte ensuite la pellicule pour investir le plateau aux murs recouverts de velours. Dans cet espace (mental ?) clos, elle revisite le récit initial en y superposant diverses couches de réel, comme autant de calques qui confèrent une inquiétante étrangeté au paysage esquissé. Altérant ainsi nos perceptions, la chorégraphe lorraine brouille les pistes afin de nous offrir le temps d’errer, à notre guise, dans ses zones d’ombres et ses abymes intérieurs, guidés par les éclats scintillants de son âme.
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Prochaines dates
- Le 03 avril 2025 : 19h-22h
(TITRE PROVISOIRE)
Indispensables lieux de fabrique, les CDCN permettent chaque année à des dizaines d’artistes de créer de nouveaux spectacles dans de bonnes conditions techniques et financières. À POLE-SUD, un grand espace leur est dédié et nous participons, grâce à ce dispositif financé par le Ministère de la Culture et les collectivités locales, à la production d’œuvres régionales, nationales et internationales.Certaines de ces résidences ouvrent leurs portes au public lors de soirées 2 en 1 où vous pouvez découvrir gratuitement une étape de travail, les « Travaux publics », à 19:00 et un spectacle de notre saison à 20:30.
Voetvolk est un groupe de danse contemporaine et de performance, fondé en 2007 par la danseuse et chorégraphe Lisbeth Gruwez et le compositeur et musicien Maarten Van Cauwenberghe. Bien connu des scènes internationales, le solo it’s going to get worse and worse and worse, my friend nous avait déjà littéralement subjugué par cette symbiose exceptionnelle entre le visuel et l’auditif. Après plusieurs pièces de groupes ces dernières années, ils retravaillent ensemble à un nouveau solo interprété par Lisbeth Gruwez.
Résidence : LU 31 MARS > VE 04 AVR
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Prochaines dates
- Le 23 avril 2025 : 20h30-22h
- Le 24 avril 2025 : 20h30-22h
Élégie pour Raimund Hoghe
Esthète aux scénographies d’un minimalisme sublime, Emmanuel Eggermont a clos ses pièces chromatiques autour de la recherche sur la couleur : le noir de Πόλις (Pólis), le blanc d’Aberration ou les motifs dichroïques d’All Over Nymphéas. Sa danse délicate et puissante se tourne vers son mentor Raimund Hoghe. About Love and Death est un hommage à celui qui fut le dramaturge de Pina Bausch, avec lequel Eggermont signa huit pièces. De Debussy à Judy Garland, la bande son fait s’entrecroiser musiques populaires chères au chorégraphe allemand disparu en 2021, extraits de films et grands classiques. Une mélancolique Samba-Cançao brésilienne de Dolores Duran, un lieder de Mahler ou une Valse de Joséphine Backer témoignent de quinze années de collaboration entièrement tournées vers le mouvement sincère et la présence essentielle, connectée à l’origine du mouvement. Fuite du temps, amours, perte des êtres chers, il glisse ses pas dans ceux du maestro allant jusqu’à l’incarnation du spectre de Raimund Hoghe et de ses paysages émotionnels.
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Prochaines dates
- Le 24 avril 2025 : 19h-22h
Indispensables lieux de fabrique, les CDCN permettent chaque année à des dizaines d’artistes de créer de nouveaux spectacles dans de bonnes conditions techniques et financières. À POLE-SUD, un grand espace leur est dédié et nous participons, grâce à ce dispositif financé par le Ministère de la Culture et les collectivités locales, à la production d’œuvres régionales, nationales et internationales.
Certaines de ces résidences ouvrent leurs portes au public lors de soirées 2 en 1 où vous pouvez découvrir gratuitement une étape de travail, les « Travaux publics », à 19:00 et un spectacle de notre saison à 20:30.
Bouziane Bouteldja découvre la break dance en 2001 et fonde sa compagnie en 2007 à Tarbes pour y développer un travail d’auteur en tissant des liens entre Art et Société. Des danses et des luttes est conçu comme une conférence dansée qui pourrait être présentée partout. L’histoire de danses qui sont nées à l’occasion de luttes sociales ou de libération mais aussi des danses qui sont nées grâce au déplacement et à la rencontre entre les gens.
Résidence : MA 22 > SA 26 AVR
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Prochaines dates
- Le 06 mai 2025 : 20h30-21h30
M&M – MARION & MWENDWA
Figure bien connue à Strasbourg, Amala Dianor propose un double programme dédié à trois danseuses. Il offre tout d’abord à la jeune Nangaline Gomis Wo-man, prolongement de son solo signature Man Rec, mélange de toutes les influences qui composent sa danse (hip-hop, danse contemporaine et africaine). Le chorégraphe transmet le flambeau à une Franco-Sénégalaise – aperçue chez Noé Soulier ou Marion Alzieu – avec laquelle il partage un amour du geste incarné et une fluidité portée par un sens du groove hypnotisant. La seconde partie de soirée réunit Marion Alzieu et Mwendwa Marchand. Sur une composition d’Awir Leon, ancien danseur d’Emanuel Gat auteur de créations musicales originales, M&M s’intéresse aux complémentarités des deux interprètes que tout semble séparer. L’une est danseuse contemporaine, l’autre vient du dancehall, culture urbaine jamaïcaine basée sur la répétition. Rigueur de la structure et spontanéité brute se nourrissent mutuellement, les ondulations syncopées se mariant à l’abstraction dans un dialogue fécond.
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Prochaines dates
- Le 07 mai 2025 : 15h-16h
Parce que la vie est un grand théâtre que l’on apprend très tôt à regarder et à ordonner, Marc Lacourt s’amuse à inventer d’autres mondes avec l’autrice-illustratrice Delphine Perret, diplômée des Arts déco strasbourgeois. Comme sur les murs d’une caverne, le plateau devient un terrain de jeux pour l’imaginaire, le détournement joyeux du verbe, les trouvailles absurdes du corps. Ici, le renversement des certitudes est de mise au profit d’une poétisation des objets qui nous entourent, bougent tout seul et servent de combustible à idées loufoques. Danseur repéré chez Ambra Senatore, Marc Lacourt se plaît à ordonnancer un certain fouillis dans cette pièce jeune public, dansée-dessinée à la craie ou au feutre, qui place l’imagination au pouvoir. Et si de l’autre côté du voile, la création n’était pas si mystérieuse, une fois partagée par tous ? La spontanéité du mouvement sert d’étincelle à une liberté d’être et d’envisager les choses, mais aussi les rapports qui nous lient.
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Prochaines dates
- Le 07 mai 2025 : 19h-20h
M&M – MARION & MWENDWA
Figure bien connue à Strasbourg, Amala Dianor propose un double programme dédié à trois danseuses. Il offre tout d’abord à la jeune Nangaline Gomis Wo-man, prolongement de son solo signature Man Rec, mélange de toutes les influences qui composent sa danse (hip-hop, danse contemporaine et africaine). Le chorégraphe transmet le flambeau à une Franco-Sénégalaise – aperçue chez Noé Soulier ou Marion Alzieu – avec laquelle il partage un amour du geste incarné et une fluidité portée par un sens du groove hypnotisant. La seconde partie de soirée réunit Marion Alzieu et Mwendwa Marchand. Sur une composition d’Awir Leon, ancien danseur d’Emanuel Gat auteur de créations musicales originales, M&M s’intéresse aux complémentarités des deux interprètes que tout semble séparer. L’une est danseuse contemporaine, l’autre vient du dancehall, culture urbaine jamaïcaine basée sur la répétition. Rigueur de la structure et spontanéité brute se nourrissent mutuellement, les ondulations syncopées se mariant à l’abstraction dans un dialogue fécond.
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