Agenda

Direction : Manuel Mendoza

Charlotte Juillard violon

Alexander Somov violoncelle

Daniela Tsekova piano

Ludwig van Beethoven :

• Symphonie n°4 opus 60 

• Triple concerto opus 56

Samedi 29 juin 2024

19h

Dimanche 30 juin 2024

17h

Auditorium

À votre rythme, renouez avec la ville à la faveur de la douceur estivale. Une visite à la lisière des songes où la presqu’île Malraux, parée des lumières du soleil couchant, vous dévoilera tous ses secrets. Pour faire rimer détente et découverte, un soir d’été.

RDV devant l’entrée de la Cité de la Musique et de la Danse

CONCERT

L’imagination comme trouvaille, jaillissement, relation inattendue, mais aussi comme atelier d’imagerie intérieur et faculté à laisser libre cours aux représentations mentales. Voilà qui pourrait définir l’état d’esprit de ce concert de l’ensemble à cordes Resonanz.

Enno Poppe nous conduit dans une forêt de trèfles à quatre feuilles illustrée par quatre quatuors à cordes sur scène (Wald), tandis que François Sarhan compose, varie et rumine (Covaru) les effectifs potentiels de l’ensemble, du soliste au quintette. Joanna Bailie, toujours en quête de visions sonores, propose quant à elle une transposition musicale du temps d’exposition photographique (Residue).

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de 6 à 25€
11€ avec la carte musica

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PROGRAMME
François Sarhan, Covaru (2024 - création mondiale)
Enno Poppe, Wald (2010)
Joanna Bailie, Residue (2024 - création mondiale)

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Ensemble Resonanz
direction | Peter Rundel

 

PROJECTION

ARTE et Musica présentent en avant-première le documentaire d’Andreas Morell sur Arnold Schönberg, suivi du Quatuor Diotima
et de la soprano Axelle Fanyo pour son Deuxième Quatuor, Bobok de François Sarhan et Grido d’Helmut Lachenmann.

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gratuir sur réservation

 

CONCERT

ARTE et Musica présentent en avant-première le documentaire d’Andreas Morell sur Arnold Schönberg, suivi du Quatuor Diotima et de la soprano Axelle Fanyo pour son Deuxième Quatuor, Bobok de François Sarhan et Grido d’Helmut Lachenmann.

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de 6 à 25€
11€ avec la carte musica

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PROGRAMME
François Sarhan, Quatuor n°1 “Bobok” (2002)
Arnold Schönberg, Quatuor à cordes n°2 (1907-1908)
Helmut Lachenmann, Quatuor à cordes n°3 “Grido” (2001)

soprano | Axelle Fanyo

Quatuor Diotima
violon | Yun-Peng Zhao
violon | Léo Marillier
alto | Franck Chevalier
violoncelle | Alexis Descharmes

 

THÉÂTRE-MUSICAL

De drôles d’oiseaux de l’avant-garde du XXe siècle sont réunis sur une même scène par un jeune ensemble prometteur sous la direction de Bianca Chillemi.

Les Aventures et Nouvelles Aventures de György Ligeti ouvrent le bal dans une interprétation à la lettre, mais néanmoins déjantée, auxquelles succède un autre périple, tout aussi délirant, celui des Eight Songs for a Mad King de Maxwell Davies illustrant le monarque du Royaume-Uni George III gagné par la folie. Une nouvelle génération d’interprètes reprend à son compte la fougue créative des années 1960 et écrase le champignon de la musique contemporaine — avec brio, avec humour, sans complexe.

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spectacle en anglais surtitré en français

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de 6 à 25€
11€ avec la carte musica

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PROGRAMME
György Ligeti, Aventures et Nouvelles aventures (1962/65)
Maxwell Davies, Eight Songs for a Mad King (1969)
I - The Sentry (King Prussia’s Minuet)
II - The country walk (La Promenade)
III - The Lady-in-waiting (Miss Murgraves Fancy)
IV - To be sung on the water (Waterman)
V - The Phantom Queen (He’s Ay A-kissing Me)
VI - The Counterfeit
VII - Country Dance (Scotch Bonnet)
VIII - The Review (A spanish March)

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scénographie | Cécilia Galli
lumière | Daniel Lévy
costumes | Ninon Lechevallier

soprano | Anne-Laure Hulin
mezzo-soprano | Roomie Estèves
baryton | Pierre Barret-Mémy et Vincent Bouchot

piano et direction artistique | Bianca Chillemi
flûte | Julie Brunet-Jailly
clarinette | Joséphine Besançon
cor | Mathilde Fevre
violon | Apolline Kirklar
violoncelle | Clotilde Lacroix
contrebasse | Rémi Demangeon
clavecin | Grégoire Laugraud
percussions | Valentin Dubois

 

L’Orchestre Improdimensija a fait ses débuts au Vilnius Jazz Festival 2020, captivant le public par son enthousiasme, son inventivité et ses sons inhabituels. Formé à l’initiative des maîtres de musique improvisée Liudas Mockūnas et Arnas Mikalkėnas, il se compose des anciens élèves et des étudiants du programme de maîtrise en musique contemporaine/musique improvisée de l’Académie lituanienne de musique et de théâtre et de leurs associés. À Strasbourg, l’Orchestre présentera son approche de l’improvisation en collaboration avec Marc Ducret, homme-orchestre original et virtuose autodidacte.

Le programme offrira une découverte du jazz lituanien, mais fera également la part belle aux échanges culturels entre la Lituanie et la France, dans un esprit commun de liberté créative.

Évènement coorganisé par la Représentation Permanente de la Lituanie auprès du Conseil de l‘Europe dans le cadre de la Saison de la Lituanie en France 2024 et dans le cadre de la Présidence lituanienne du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe.

L'Orchestre propose un nouveau rendez-vous ! En formation symphonique, les musiciens interprètent des pièces phares de la musique classique.

Un concert d'une heure qui se glisse joyeusement dans le quotidien.

 

Cette première édition de « L’heure joyeuse » aura lieu en compagnie de Mozart.

L’occasion d’écouter deux œuvres écrites à la fin de sa courte existence : l’Ouverture la plus célèbre du répertoire de l’opéra et sa dernière symphonie.

 

Le mercredi 20 novembre à 19H est un concert Relax.

Informations et réservations https://philharmonique.strasbourg.eu/les-concerts-relax

L'Orchestre propose un nouveau rendez-vous ! En formation symphonique, les musiciens interprètent des pièces phares de la musique classique. 

Un concert d'une heure qui se glisse joyeusement dans le quotidien.

Stravinski visite le passé, se penche sur la musique de Pergolèse, écrit Pulcinella et en tire une Suite pour orchestre.

Le hautboïste Pasculli brode sur un opéra de son temps et fait briller son instrument face à l’orchestre dans un concerto virtuose. Tisser des liens entre les œuvres, les époques… quelle source de richesse !

Deux pièces à découvrir durant cette « heure joyeuse ».

Opéra en 9 scènes, avec prologue et épilogue.
Livret de Gilles Rico d’après Les Trois Brigands de Tomi Ungerer.

Dans le cadre de Strasbourg – Capitale mondiale du livre UNESCO 2024.

Quand le soir enveloppe la forêt de ses ténèbres, d’étranges silhouettes se mêlent aux ombres tortueuses des arbres. Trois hommes, vêtus de longs manteaux et de hauts chapeaux noirs, rôdent comme des spectres dans la nuit. Quand ils paraissent, toute la forêt se tait et se met à trembler. Le premier d’entre eux, dit le Bavard, possède une grande hache rouge. Le deuxième, surnommé le Bougon, arbore un gros soufflet qui crache du poivre irritant. Le troisième, appelé le Bigleux, est armé d’un tromblon plein de munitions. Ce ne sont pas des brigands d’opérette, et encore moins de bande dessinée ! Chaque nuit, ils terrorisent les riches voyageurs, les détroussent puis planquent leur butin dans une caverne. Une vie de crime et de rapine bien réglée, qu’une jeune orpheline égarée s’apprête pourtant à bouleverser…

Le dessinateur alsacien Tomi Ungerer a enchanté des générations d’enfants avec ses albums jeunesse écoulés par milliers dans le monde entier. Fasciné par son œuvre fantasque, l’Opéra ­national du Rhin a commandé au compositeur Didier Puntos un nouvel opéra de chambre situé dans l’univers de l’un de ses titres phares, Les Trois Brigands (1961). Puisant également dans les autres œuvres et la vie d’Ungerer, son livret prend la forme d’un conte plein de malice, raconté par une drôle de narratrice, et qui se déploie sur scène comme un livre animé. Un spectacle co-signé par Gilles Rico et Jean-Philippe Guilois, interprété avec fougue par les jeunes artistes de l’Opéra Studio et de la Haute école des arts du Rhin (HEAR), à découvrir lors de la tournée régionale de notre « Opéra Volant ».

À partir de 6 ans

 

Une nuit a suffi à Chostakovitch pour arranger deux pièces extraites de ses œuvres scéniques : la délicate Elégie, air de Katerina tiré de Lady Macbeth de Mtsensk, et la grotesque Polka issue de son ballet L’Âge d’or.

Un tout autre climat entoure l’ultime Quatuor de Schubert, écrit quelque cent ans plus tôt : intense, tragique, changeant, il oscille entre ombre et
lumière.

Les violons de l’orchestre sortent du rang pour un tour du monde en dansant. 

Ils vous invitent à venir découvrir des œuvres élégantes, féeriques, canailles, terriennes, guerrières ou sensuelles. Des valses, des tangos, des csárdás,
des polkas…

Alors, prêts à entrer dans la danse ?

À partir de 8 ans

Lorsque se rencontrent une maîtrise de génie dans l’art de composer et la jeunesse éclatante d’une imagination créatrice, vous obtenez… la symphonie « Jupiter » !

Préparez-vous à un voyage symphonique et participatif en compagnie de Guillaume Hermen, au cœur de l’univers magique de Mozart, où les sons de l’Orchestre deviennent jeux, surprises et émotions.

À partir de 6 ans.

Longtemps, le mythique Carlos Gardel a incarné le tango, entraînant dans son sillage des compositeurs qui ont apporté leur éclairage personnel.

Dans les années 60, Astor Piazzolla donne une dimension nouvelle à ces mélodies sensuelles, et devient à son tour source d’inspiration.

Les musiciens proposent ici un medley de tangos argentins anciens et modernes, rejoints ponctuellement par des danseurs.

Le violon de Charlotte Juillard, super soliste de l’Orchestre, donne vie aux chants d’oiseaux, au soleil écrasant, au vent d’automne ou aux bourrasques de neige face à un orchestre à cordes.

Mais saviez-vous que derrière l’œuvre musicale incontournable de Vivaldi se trouvent également quatre sonnets rédigés par le compositeur ?
Pour célébrer la continuité de l’union de la musique et de la poésie, des vers composés pour l’occasion viendront se glisser parmi les saisons.

Derrière l’œuvre incontournable d’Antonio Vivaldi, se trouvent quatre sonnets écrits par le compositeur qui choisit de traduire ses notes en poèmes. Charlotte Juillard, premier violon super soliste de l’Orchestre mènera les cordes à travers les saisons, avec en écho, la lecture de poèmes… inédits, composés par les enfants.

À partir de 10 ans

La harpe connaît, au début du XX^e siècle, des innovations techniques que les facteurs Érard et Pleyel veulent promouvoir à travers les œuvres commandées à Ravel et Debussy.

Entre ces pièces, Jolivet fait interagir la flûte avec la clarinette, Tailleferre choisit le quatuor pour s’exprimer dans un monde musical masculin, et Saariaho confronte les couleurs de la clarinette basse et du violoncelle.

En fil conducteur de cette journée avec Jean-Sébastien Bach, ses Suites pour violoncelle seul. 

Longtemps limité au rôle d’accompagnateur, l’instrument est alors mis sur le devant de la scène grâce à des pages techniquement inédites. Elles
seront interprétées par Jean-Guihen Queyras qui proposera en miroir des pièces pour violoncelle seul du Hongrois Kurtág, écrites plus de 250 ans plus tard dans un va-et-vient stylistique captivant.

En milieu de journée, la flûte, le violon et le clavecin se joignent au violoncelle pour prolonger cette immersion dans l’univers de Bach, avec un détour dans une des œuvres phares du fils de Jean-Sébastien.

En fil conducteur de cette journée avec Jean-Sébastien Bach, ses Suites pour violoncelle seul. 

Longtemps limité au rôle d’accompagnateur, l’instrument est alors mis sur le devant de la scène grâce à des pages techniquement inédites. Elles
seront interprétées par Jean-Guihen Queyras qui proposera en miroir des pièces pour violoncelle seul du Hongrois Kurtág, écrites plus de 250 ans plus tard dans un va-et-vient stylistique captivant.

En milieu de journée, la flûte, le violon et le clavecin se joignent au violoncelle pour prolonger cette immersion dans l’univers de Bach, avec un détour dans une des œuvres phares du fils de Jean-Sébastien.

En fil conducteur de cette journée avec Jean-Sébastien Bach, ses Suites pour violoncelle seul. 

Longtemps limité au rôle d’accompagnateur, l’instrument est alors mis sur le devant de la scène grâce à des pages techniquement inédites. Elles
seront interprétées par Jean-Guihen Queyras qui proposera en miroir des pièces pour violoncelle seul du Hongrois Kurtág, écrites plus de 250 ans plus tard dans un va-et-vient stylistique captivant.

En milieu de journée, la flûte, le violon et le clavecin se joignent au violoncelle pour prolonger cette immersion dans l’univers de Bach, avec un détour dans une des œuvres phares du fils de Jean-Sébastien.