YOUSSEF SWATT'S
RAP - BELGIQUE
Youssef Swatt’s, un rappeur belge à la plume unique et au style distinctif. Originaire de Tournai, Youssef s’est établi comme un espoir majeur du rap belge, connu pour sa capacité à capturer l’essence de sa génération avec une écriture profondément poétique et réfléchie. Depuis ses débuts, il a impressionné la scène musicale avec des albums notables tels que « Poussières d’espoir » et « Pour que les étoiles brillent », tous deux salués pour leur authenticité et leur innovation. Ses collaborations avec des artistes renommés comme Scylla, Gaël Faye, Demi Portion, Hugo TSR, Roméo Elvis, Caballero & JeanJass, et Georgio témoignent de son influence et de son respect dans l’industrie.   ROCÉ
RAP - FRANCE
Rocé est un rappeur français aux facettes multiples, né en Algérie et fils du résistant Adolfo Kaminsky. Il met dans sa musique la rigueur, le militantisme et l’espoir que ses parents lui ont transmis. Ayant grandi dans le 94, il a collaboré avec la Mafia K1Fry et sorti quatre albums, dont « Identité en crescendo », primé pour son écriture. Son morceau « Habitus » est étudié au lycée depuis 2019. En 2018, il lance « Par les damné·es de la terre », un projet de dix ans sur le colonialisme et les luttes sociales, qui lui a valu une reconnaissance internationale. Depuis plusieurs années Rocé a additionné les conférences autour de ses projets aussi bien musicaux que socio-politiques lui permettant de collaborer avec plusieurs musées.

Inspirée par la nature, le territoire et les gens qui l’entourent, Gabrielle Duplantier développe depuis plusieurs années un travail où l’intime et la féminité sont au cœur de sa recherche.
Dans sa dernière série intitulée Wild Rose, elle photographie la nature comme repli et celles et ceux qui croisent son chemin ; elle pose sur ces visages et sur ces paysages un regard tendre quasi amoureux qui montre à chaque image une grande émotion.

A La Chambre, espace d'exposition et de formation à l'image.
Entrée Libre du mercredi au dimanche, de 14h à 19h.
Visite guidée gratuite tous les dimanches à 17h (20 minutes).

Depuis l’Antiquité, l’histoire des hommes est aussi celle du silence imposé aux femmes, dont la voix a toujours été associée à la monstruosité et au désordre. Tel est le constat d’Anne Carson, dont l’essai The Gender of Sound (1992) est le point de départ de la nouvelle création de Jan Martens. À contre-courant de cette vision patriarcale, il puise dans un corpus de 200 pièces musicales des cent dernières années pour faire entendre ce qui est tu : des morceaux méconnus, où la voix de la femme est essentielle. Dans un présent écrasé d’images, il fait confiance à la puissance évocatrice du son et lui donne forme à travers les corps. Laissant cette fois de côté les chorégraphies de grands groupes, il se concentre sur un ensemble de six danseur·euses accompagné·es de treize musicien·nes, dans une approche sensible et sensorielle. Sans abandonner complètement l’organisation quasi géométrique des corps dans l’espace qui constitue sa marque de fabrique, le chorégraphe invite les artistes à s’émanciper peu à peu des cadres. Pour mieux écrire une contre-histoire sonore et gestuelle. 

 

C'est bientôt la fin des soldes partout, mais pas de panique!! Nous vous proposons dès ce vendredi puis samedi et la semaine prochaine, de venir vous emparer de nos pépites d'occasion!
Vous trouverez des classiques, des contemporains, des romans, des essais, des formats poche, des grands formats, quelques livres de cuisine, quelques bd, quelques beaux-livres, quelques ovnis, en bon état, très bon état, certains neufs!

Vivre et interroger notre rapport à la forme, à la matière. Observer l’être humain dans son environnement, ses découvertes, ses quêtes.

Jouer avec son corps, TOUCHER, ma- nipuler, pour se construire, grandir et partager.

À la frontière entre le spectacle et l’aire de jeu(x), TOUCHE est une forme théâtrale imaginée à partir des objets tactiles de l’illustratrice - plasticienne Myriam Colin. Dans cet espace-temps, œuvre d’art et moment de vie à par- tager par tous, enfants et adultes, les matières, les textures et les formes se transforment au rythme des manipula- tions et de la musique. TOUCHE explore le vaste monde du toucher.

Un voyage tout en poésie, guidé par une comédienne et un musicien, au cœur des sensations et de l’expérience artistique.

Durée : 40 min. • À partir de 18 mois

 

Discussion, échanges & rencontres entre internationaux : c'est Tandem au Blue Note. En partenariat avec le groupe Tandem International, nous vous proposons un moment de rencontres. Discussions, exchanges & meetings between internationals: it's Tandem at Blue Note. In partnership with the Tandem International group, we invite you to come and meet...   Happy Hour sur la bière blonde de 20h à 21H30 !

Événement gratuit sur inscription via notre site internet ou en envoyant un mail à l'adresse : communicationlibrairiekleber@outlook.com   Une domestique au service d’un couple bourgeois se retrouve exceptionnellement un week-end en tête à tête avec Monsieur, car Madame se rend à la campagne. Il faudra cohabiter, laver et nourrir cet ancien pianiste accablé d’amertume, gueule cassée de la bataille de la Somme. Mais Monsieur a un autre projet en tête. Un plan irrévocable, sidérant. Et si elle acceptait ? Et si elle le défiait ?   Venez découvrir La Petite Bonne de Bérénice Pichat publié aux éditions Les Avrils. Une rencontre animée par Isabelle Arnould, chroniqueuse littéraire (@lodyssee_des_mots).   Photographie : ©Chloé Vollmer-Lo

Événement gratuit sur inscription via notre site internet ou en envoyant un mail à l'adresse : communicationlibrairiekleber@outlook.com 

Une domestique au service d’un couple bourgeois se retrouve exceptionnellement un week-end en tête à tête avec Monsieur, car Madame se rend à la campagne. Il faudra cohabiter, laver et nourrir cet ancien pianiste accablé d’amertume, gueule cassée de la bataille de la Somme. Mais Monsieur a un autre projet en tête. Un plan irrévocable, sidérant. Et si elle acceptait ? Et si elle le défiait ? 

Venez découvrir La Petite Bonne de Bérénice Pichat publié aux éditions Les Avrils.

Une rencontre animée par Isabelle Arnould, chroniqueuse littéraire (@lodyssee_des_mots).

Photographie : ©Chloé Vollmer-Lo

Lien de l'événement

Le Centre de culture numérique (CCN) est un espace que l’université a dédié à la découverte, à la sensibilisation et à la formation au numérique.

Il accueille des curieux, des profanes, des experts, de tous âges et tous horizons, membres de la communauté universitaire comme externes.et propose toute l’année des événements gratuits en lien avec la culture numérique : ateliers, démonstrations, tables-rondes, conférences !

« Mère– Il n’avait plus rien de commun avec nous.
Père– On a bien vu quelques médecins.
Mère– C’était normal pour un enfant de s’identifier aux animaux !
Père– L’imitation participe au développement psychique, affectif et j’en passe… C’est pas eux qui se tapaient des cris de bêtes du matin au soir !
Mère– Toutes les bestioles y passaient.
Père– Une vraie réserve !
Mère– Ça hennissait, ça grognait, ça piaffait, ça bramait !
Père– Tout était comme déverrouillé ! ça sortait des cages !
Mère– Puis il s’est mis à faire… à faire les marquages…
Père– Bon, quelques gouttes par ci par là, rien de bien méchant.
Mère– Je lui ai dit tu sais Emmanuel, tu es ici chez toi, ni papa ni moi, ne
remettront en question ton territoire ! »

 

Quand il s’enfonce dans l’épaisse forêt, Emmanuel rentre enfin chez lui. L’odeur moite de la sève, les arbres éraflant le ciel, le bourdonnement apaisant des insectes, ici tout lui est familier. Nu, poilu, fourchu, cornu, un frisson bestial parcourant son échine, il s’éveille pleinement à son animalité retrouvée…

Cette fable naturaliste de Catherine Monin a été sélectionnée par le comité de lecture des Actuelles en 2022. Cécile Arthus met en scène un texte à corps et à cri, oscillant entre l’instinct et les mots, le domestique et le sauvage, le poétique et le charnel, l’homme et la bête, la métamorphose et l’osmose.

Une exposition pour tout savoir sur le monument de Gutenberg érigé en 1840 à Strasbourg à l’occasion des 400 ans de l’invention de l’imprimerie. Œuvre majeure de David d’Angers, l’un des plus grands statuaires français du 19e siècle, ce monument vante les bienfaits de l’imprimerie à travers le monde, dans un esprit d’humanisme et d’amitié entre les peuples. Situé au cœur de la ville, il constitue aujourd’hui un élément essentiel du patrimoine urbain de Strasbourg ainsi qu’un appel au vivre ensemble.

En rendant hommage à Gutenberg à la fin des années 1830, les autorités strasbourgeoises souhaitent rappeler le souvenir d’un bienfaiteur de l’humanité dont l’invention a contribué à l’émancipation des hommes et des femmes. Fervent républicain, le sculpteur David d’Angers (1788-1856) répond à la commande en proposant un monument très politique, défendant des valeurs humanistes : l’instruction des peuples, la liberté d’expression, la dénonciation de l’esclavage. L’exposition revient sur le processus créatif du monument, dans un contexte de concurrence mémorielle avec la cité allemande de Mayence.

En juin 1840, l’inauguration du Gutenberg de David d’Angers donne lieu à trois journées de fêtes populaires auxquelles prennent part des imprimeurs venus de toute la France, mais aussi les différents corps de métiers de la ville. L’ouvrier est au centre des attentions. Un immense cortège les voit parcourir la ville sur des chars. L’exposition est l’occasion d’exposer les riches collections du musée historique de la Ville de Strasbourg (estampes, bannières, maquettes d’époque…), pour certaines restaurées pour l’occasion, témoignant de ce cortège foisonnant.

Depuis le 19e siècle, la place Gutenberg a été le théâtre d’événements et de moments importants pour l’histoire de Strasbourg. Elle appartient aujourd’hui au quotidien des Strasbourgeois, qui entretiennent avec elle une relation que l’exposition interroge par le biais d’une enquête d’anthropologie sociale menée en lien avec l’Université de Strasbourg. En partant du monument, dont elle révèle la genèse, l’exposition entend ainsi contribuer à « Lire Notre Monde ».

Commissariat : Odile Lassère, conservatrice en chef du Musée Historique de la Ville de Strasbourg
Équipe : Sylviane Hatterer, Nicolas Heissat, Isabelle Bulle
Recherche d’anthropologie sociale : Marie Durand, Institut d’ethnologie, Université de Strasbourg / Laboratoire interdisciplinaire en études culturelles (LinCS)

 Cette exposition s’inscrit dans la programmation « Strasbourg, Capitale mondiale du livre – Unesco 2024 »

27 juin 2024 – 24 février 2025
Ouvert en semaine de 10h à 13h et de 14h à 18h
Samedis et dimanches de 10h à 18h
Fermé le lundi

« Il n'y a pas de littérature pour enfants, il y a de la littérature » (François Ruy-Vidal) est un principe fondateur et provocateur qui a guidé la conception de livres jeunesse à partir des années 1960/1970. L’exposition prend ce principe comme fil rouge pour examiner comment les limites entre les différents domaines littéraires sont abolies à partir du moment où les enfants sont pris au sérieux, où on les confronte à des thèmes difficiles et complexes et, surtout, où ils peuvent construire eux-mêmes le sens de l’œuvre.
Cette exposition prend son point de départ dans l’œuvre audacieux et émancipatoire de Tomi Ungerer, dont les livres ont fortement marqué son temps. Elle met aussi en lumière d’éminents illustrateur·ices contemporain·es qui s’intéressent au rôle de l’enfant sous des formes poétiques, politiques et ludiques: des livres écrits avec des enfants, des livres dans lesquels l’autorité de l’enfant et de l’adulte est renversée, des livres dans lesquels la vie intime de l’enfant peut trouver une résonance. En somme, des œuvres d’art qui bousculent les hiérarchies de notre monde, et qui en ouvrent le sens et la portée.

Commissariat :
Artistes illustrateur·ices internationaux et strasbourgeois·es exposé·es :

Beatrice Alemagna, Pauline Barzilaï, Blexbolex, Serge Bloch, Lisa Blumen, Guillaume Chauchat, Mathilde Chèvre, Kitty Crowther, Dominique Goblet, Marie Mirgaine, Saehan Parc, Matthias Picard, Mathieu Sapin, Leo Timmers, Tomi Ungerer

Commissariat : Anna Sailer, conservatrice du Musée Tomi Ungerer – Centre international de l’Illustration. Comité scientifique : Britta Benert, Loïc Boyer. Installations : Cécile Tonizzo.

Musée Tomi Ungerer - Centre international de l'Illustration

Ouvert tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h
Samedis et dimanches de 10h à 18h
Fermé le lundi

Atelier

Des origamis, ça vous dit ? Commençons par quelques petits pliages et voilà votre propre marque-page. Continuons avec des figures plus complexes grâce aux tutos et conseils de nos expertes. Découvrez l’art du pliage japonais et repartez avec vos créations ou exposez-les à la médiathèque.

Tout public dès 6 ans. Entrée libre

Mercredi 5 février de 14h à 17h

Médiathèque Meinau

Partez à l'aventure avec Nino et Lilli, deux écureils prêts à tout pour manger des noisettes...et apparemment, il y en a sur les autres planètes ! 

Ce film de 30 min est suivi d'une présentation du ciel du soir par un médiateur scientifique.

Une œuvre d’art peut-elle être réalisée à partir d’un mode d’emploi ? Cette exposition s’intéresse aux « oeuvres à
protocole ». Ces oeuvres basées sur des instructions écrites, orales ou dessinées parcourent la création contemporaine des années 1960 à nos jours. L’exposition propose, pour la première fois en France, une plongée dans ce chapitre de l’art contemporain. À la manière de recettes de cuisine ou de partitions de musique, les oeuvres
à protocole sont conçues par un ou une artiste mais réalisées par un tiers, qu’il s’agisse des équipes du musée
ou d’un groupe d’élèves. Ainsi les oeuvres à protocole bouleversent la conception traditionnelle de l’œuvre
d’art en remettant en cause les notions d’auteur, d’originalité ou encore de pérennité. Elles perturbent également
les règles habituelles du musée : certaines peuvent être touchées ou emportées, d’autres poussent ou disparaissent
au fil de l’exposition. Dans certains cas, c’est à vous, visiteurs et visiteuses, de les activer.
Des oeuvres d’Alice Aycock, Daniel Buren, Martin Creed, Esther Ferrer, Louise Lawler, Sol LeWitt, Vera Molnár, Yoko Ono, Erwin Wurm et Ian Wilson entre autres, se déploient dans l’espace de l’exposition.
Commissariat : Philippe Bettinelli, conservateur au service Nouveaux médias du Musée national d’art
moderne - Centre Pompidou, Anna Millers, conservatrice en charge de l’art contemporain au MAMCS.
En partenariat avec le 49 Nord 6 Est - Frac Lorraine, festival Musica et le CEAAC.

Mêlant théâtre, images filmées, musique, danse et chant, Los días afuera – les jours dehors – fait une place aux récits de celles et ceux qui hier encore étaient relégué·es au plus bas de l’échelle sociale. Le spectacle est né de l’immersion pendant plusieurs mois de la metteuse en scène Lola Arias dans une prison de Buenos Aires au sein d’un groupe de 14 femmes et personnes transgenres. Jocelyn, Nacho, Estefania, Noelia, Carla, Paula ont tous·tes été marqué·es par le trafic de drogue et la prison en Argentine. Désormais libres, iels sont aide-soignante pour personnes âgées, chauffeur, barmaid, travailleuse du sexe, danseuse de voguing et acteur·rices de leur propre comédie musicale rock.
Un vent de liberté souffle sur le TnS.

L'artiste et curatrice Marie-Pierre Bonniol présente ses livres d'images digitaux développés depuis 2023 lors d'un temps de résidence à Strasbourg, dans une dynamique qui croise arts plastiques, photographie, littérature, patrimoine et culture du fanzine. Ces publications se concentrent sur l’ouverture d’espaces imaginaires, l'image comme langage et le mystère des affects.

L'exposition est présentée avec le CEAAC, en partenariat avec la Bnu (Strasbourg), Waterworks Museum (Boston) et Studio Walter (Berlin) dans le cadre de Strasbourg Capitale mondiale du livre.

Entrée libre du mardi au vendredi de 14h à 17h et samedi de 10h à 19h

Du mercredi 16 octobre au mercredi 5 février

Médiathèque André Malraux - Salle du Patrimoine 3e étage

 

DE MOLIÈRE
Par la Compagnie Le Brigadier - CSAGS
Mise en scène Julien Altenburger Dans cette pièce de Molière, Argan est un hypocondriaque qui souhaite marier sa fille, Angélique, à un médecin complètement ridicule nommé Thomas Diafoirus. Mais voilà, Angélique est amoureuse d’un autre homme, Cléante. En parallèle, Béline, la seconde femme d’Argan, a pour objectif de voler la fortune de son mari. Comment Argan, Angélique et Cléante vont-ils se sortir de cet imbroglio familial ?
Sans doute grâce aux malicieux stratagèmes de Toinette, l’espiègle servante du malade, qui saura faire émerger, entre rires et rebondissements, la vérité sur les intentions et les sentiments de chacun de nos personnages. Renseignements et réservations 07 83 13 52 57
ou par courriel resas.brigadier@gmail.com
Règlement en espèces, par chèque ou par CB   Billetsbilletweb.fr/le-malade-imaginaire28

Accrochage

La gueule dans le QR c’est une expo made in Olympe de Gouges que la France entière nous envie.

Prenez une pochette de vinyle mythique, collez sur le visage de son principal protagoniste un QR code, utilisez votre smartphone pour vous laisser surprendre et guider à travers des coups de cœurs, des podcasts ou encore des playlists concoctées par vos bibliothécaires. Chaque année les pochettes changent et les contenus aussi.

Entrée libre aux horaires de la médiathèque

Du jeudi 2 janvier au mercredi 30 avril

Médiathèque Olympe de Gouges

Mme Anne VIGUIER
Directrice du département Asie du Sud et Himalaya
SINALCO, Paris

Dans la recomposition actuelle des équilibres mondiaux entre grandes puissances, l’Inde joue désormais un rôle important, tant par son histoire millénaire, la diversité de ses cultures et son poids économique et politique dans le monde asiatique. Mieux comprendre ce géant méconnu à la démographie galopante, un enjeu vital dans notre ouverture au monde.